Dans une lettre adressée aux ambassadeurs des pays maghrébins , le 18 juillet 2019, publiée par Infos 15, je dénonçais la negrophobie, le racisme et l’esclavage en Lybie, en Algérie, au Maroc , en Égypte et surtout en Tunisie.
Dans ce dernier pays , le racisme est pratiqué même dans les cimetières. Les noirs sont enterrés à part .
C’est dire que les propos haineux du président tunisien et de son ministre des affaires étrangères confirment une réalité historique : la persistance du bassisme qui theorise la supériorité des arabo-berberes sur les noirs.
Membres de l’Union du Maghreb Arabe (UMA) ces pays géographiquement et culturellement ne se considèrent pas comme africains.
Les pays de la CEDEAO et de la CEMAC doivent rompre toutes relations diplomatiques et consulaires avec la Tunisie pour violation des droits de l’homme et incitation à la negrophobie.
Kaïs Saeid , Hitler arabisé , incapable d’apporter la moindre réponse aux attentes sociales et économiques de son peuple , se rapproche dangereusement de l’extrême droite xénophobe au pouvoir en Italie située à moins de cent cinquante kilomètres des côtes tunisiennes.
Les ouest-africains , de passage dans ce pays , sont humiliés, violés et vendus comme du bétail avec la complicité des autorités .
Le Président de la République , Monsieur Macky Sall doit rapatrier nos compatriotes, rappeler nos diplomates et expulser sans ménagement les tunisiens hors de nos frontières .C’est la seule et unique décision attendue.
La Tunisie esclavagiste et negrophobe est indigne de toute forme de coopération avec le Sénégal qui doit fermer sans délai ses aéroports à la compagnie Tunisair .
Birahim Camara.