SENEGAL : POST ELECTORAL
Revoilà la contestation post-électorale qui n’augure rien de bon pour notre démocratie.
Pour l’introduction du parrainage dans les législatives, une demande de concertation doit être soumise doit être soumise à l’opposition par le pouvoir. Ces discussions devront prendre du temps entre les parties prenantes. Le pouvoir est dans son rôle leur laissant épiloguer sur ce problème afin de mieux investir politique en vue de faire son parrainage. Une opposition qui ne tire jamais de leçons sur les passés électoraux nous incite à se demander est ce que la coalition du pouvoir doit s’inquiéter sur une soit disant cohabitation ? Tout ce que nous pouvons dire c’est que l’opposition n’est pas prête pour les législatives. Saisissez cette opportunité afin de trouver un consensus.
Espérons qu’avant les élections la justice nous édifiera sur l’affaire opposant deux concitoyens sénégalais sur un cas de supposé viol ou supposé complot. Président sinon maitre El hadj Diouf aura raison sur notre justice, dans la mesure ou le présumé violeur minimise notre institution judiciaire car ce n’est pas à lui de choisir le juge qui doit enrôler le dossier.
Cette fois ci ce sera la fin de cet épisode douloureux de cette histoire, malgré toutes les interviews faites par les deux parties exigeant ce procès D’âpres certaines sources la propriétaire du salon de massage sera convoquée pour audition.
Y’ a des informations à prendre à la pincette sur la demande d’AMINATA TOURE pour intégrer les rangs de PASTEF montrant une fois de plus le degré irrespectueux de ces responsables envers le peuple sénégalais.
Hier c’était MAME MBAYE NIANG demain se sera peut-être le président MACKY SALL. La peur de voir la dame revenir au sommet les pousse à ces actes irresponsables pour écorcher son honneur, vu son parcours politique : même vos flèches ne pourront pas l’ébranler .
Avec ingéniosité le gouvernement a pris des mesures idoines en suspendant certaines taxes permettant une stabilité des prix pour combattre l’inflation sur les denrées, merci Président. Auscultons l’histoire pour faire un constat amer de l’échec d’un président qui passe toujours à côtés des priorités du moment.
Tous les jalons de notre indépendance alimentaire étaient à notre portée grâce à la GOANA de son prédécesseur qui ne demandait que des corrections, mais par une politique de populisme ce programme a été laissé en rade
Personne ne peut nier vos efforts consentis dans l’agriculture durant votre mandat. Président des questions doivent être soulevées :
Est-ce que tous les investissements mis dans l’agriculture se sont avérés ?
Est que tous les records de production annoncés en grande pompe collent-ils avec la réalité ?
Mamadou Diallo Poulho Derry le BOUDIOUCKOIS