Au Sénégal, il existe des têtes brûlées. Il y en a qui, suivant des intentions inavouées, cherchent à faire du mal pour…exister. Le patron du groupe Avenir communication, propriétaire du quotidien Le Quotidien Madiambal Diagne fait partie de cette clique d’individus. Madiambal Diagne fait intentionnellement du mal.
Ces derniers jours, c’est à des personnalités du pays que Madiambal Diagne cherche à faire du mal. Il accuse le régime du Président Macky Sall de faire pire que les Wade, à propos du bradage sur le foncier. Ironie du sort ! Madiambal Diagne se garde toujours d’expliquer aux Sénégalais comment il a fait pour acquérir un terrain sur le domaine maritime sous le régime du Président Me Abdoulaye Wade. Un terrain qu’il a fini de construire et où il loge en ce moment.
Malgré les explications données par lui, il existe toujours des zones d’ombre sur les terrains qui lui ont été attribués à Tivaouane Peulh. Madiambal Diagne nous sert des explications vraiment tirées des cheveux. Bon Dieu, c’est quoi cette histoire qu’il n’avait rien demandé, mais un beau jour il s’est retrouvé avec une décision de l’ex-directeur des Domaines Mamour Diallo qui lui a servi comme sur un plateau d’argent, une parcelle. Offre qu’il a déclinée, affirme-t-il.
Journaliste, affairiste, Madiambal Diagne a réussi à se faire accepter comme membre du Club des investisseurs du Sénégal (CIS) où il n’est pas donné à n’importe qui d’y entrer. Une structure où il a réussi finalement à semer la division pour ensuite démissionner. Madiambal Diagne a du mal à admettre le soutien apporté par le CIS à AKILEE.
Une autre de ses têtes brûlées, c’est le maire de Mermoz – Sacré-Cœur Barthélémy Dias. Mais lui contrairement à Madiambal Diagne, est guidé par de bonnes intentions. Seulement à vouloir trop bien faire, Barthélémy Dias du fait de son caractère excessif, finit finalement par faire du mal. Il vient de se signaler en se montrant défenseur du littoral. Un combat noble. Seulement, emporté par sa fougue, Barthélémy Dias s’est mis à accuser sans raison aucune des autorités pour défendre une partie du littoral qui ne figure pas dans sa circonscription.
La rédaction de Xibaaru