Elle écope de 20 ans de prison pour avoir t.ué son petit ami lors d’un rapport s3xuel. L’histoire se passe en Afrique du Sud.
Zanele Mkhonto a récemment été condamnée à une peine de 20 ans de prison pour le meurtre de son petit ami, le sergent Mandlenkosi Happy Thwala.
Le verdict fait suite à un plaidoyer de culpabilité lors de la procédure judiciaire.
L’affaire a été portée devant le tribunal après que Mkhonto ait avoué avoir intentionnellement t.ué Thwala en août 2022. Elle a affirmé que ses actions étaient une réponse à des relations s3xuelles agressives.
La porte-parole de l’Autorité nationale des poursuites (NPA) de Mpumalanga, Monica Nyuswa, a déclaré que Mkhonto avait plaidé coupable en novembre 2023 et avait ensuite été reconnu coupable du meurtre du policier.
« Elle a déclaré au tribunal qu’elle entretenait une relation amoureuse avec le défunt (Thwala) et qu’ils résidaient ensemble de janvier à juillet 2022, à Gedlembane, à Pienaar. Après s’être rendu compte que leur relation était instable, elle est partie chez ses parents », a déclaré Nyuswa.
Le 2 août 2022, la NPA a déclaré que Mkhonto s’était rendu à Thwala à Gedlembane. Au cours de cette visite, une altercation s’en est suivie entre les deux.
Après l’altercation, le sergent de police s’est endormi et c’est à ce moment-là que Mkhonto a pris son pistolet de service et lui a tiré dessus à plusieurs reprises alors qu’il était au lit.
Mkhonto a ensuite quitté les lieux, emportant l’arme à feu et le véhicule de la victime. Alors qu’elle se rendait à sa propriété à Masoyi, Mkhonto est tombée sur un barrage routier à Zwelisha, près de KaBokweni, et elle a jeté l’arme à feu de la victime qui a été trouvée par des membres du public le lendemain matin », a déclaré Nyuswa.
À son arrivée chez elle, Mkhonto a informé son amie du crime qu’elle avait commis, et la police a été alertée. Mkhonto a ensuite été arrêtée et l’État s’est opposé avec succès à sa libération sous caution.
Au cours du procès, en guise d’aggravation de peine, l’avocat de l’État, Zwelethu Mata, a déclaré au tribunal que Mkhonto n’avait montré « aucun remords » pour ses actes.
Au lieu de cela, le tribunal a appris que Mkhonto avait tenté de banaliser ses actions en utilisant des récits non vérifiés dans ses rapports pré-sentenciels.
Le juge en charge de l’affaire a prononcé la sentence immédiatement après le plaidoyer de culpabilité de Mkhonto, lui infligeant une peine de 20 ans de prison pour son crime.