Une dame poignarde la fille du voisin qui aurait conseillé à son mari d’épouser une deuxième femme
Une femme nommée Fatima Malam est en fuite après avoir prétendument poignardé la fille de 6 ans de son voisin, Sherifat Usman, à Gadon Kaya Damatsiri dans la zone de gouvernement local de Gwale dans l’État de Kano.
Il a été établi que la suspecte avait poignardé Sherifat à cause d’un plan présumé de son mari pour épouser une autre femme grâce aux conseils du père de la victime.
Une source dans la région a révélé que dans un acte de vengeance, Fatima a poignardé Sherifat plusieurs fois sur le ventre avec l’intention de la tuer pour l’ingérence présumée de son père dans son domicile conjugal.
La source a expliqué que Fatima était en colère lorsqu’elle a appris que le père de Sherifat, un ami proche de son mari, était celui qui lui avait conseillé de prendre une seconde épouse.
Mais le mari de Fatima, appelé Mallam, a affirmé que sa femme était mentalement dérangée.
L’enquête a révélé que Fatima avait fourni Sherifat pour l’escorter à Mariri dans la zone de gouvernement local de Kumbotso où elle a poignardé la petite fille plusieurs fois sur le ventre.
« En route pour Mariri, Fatima a acheté un couteau de cuisine. Elle a entraîné Sherifat dans un bâtiment inachevé où elle l’a poignardée plusieurs fois au ventre avec la seule intention de la tuer », a expliqué la source.
“Fatima voulait tuer Sherifat parce qu’elle sentait que son père était celui qui incitait son mari à avoir une seconde épouse.
“Fatima a agi de façon étrange ces derniers temps. Il y a quelques semaines, elle a sorti un soir un pilon en menaçant de tuer quelqu’un si son mari a participé une autre femme.
Il a également été constaté qu’après avoir poignardé Sherifat, Fatima a quitté précipitamment les lieux en croyant que la petite fille était morte.
Mais son cri a attiré des passants qui se sont finalement précipités dans le bâtiment inachevé et ont secouru la petite fille qui a survécu à la grave attaque.
Le porte-parole du commandement de la police d’État, SP Abdullahi Haruna Kiyawa, qui a confirmé l’incident aux journalistes le mercredi 17 mai, a déclaré que l’affaire faisait toujours l’objet d’une enquête alors que la police s’efforçait d’arrêter la coupable en fuite.