L’un des 5 individus qui ont attaqué, dans la nuit du dimanche 2 au lundi 3 avril 2023, une société située sur l’Autoroute du Nord, non loin d’une brasserie sise au PK 26, a été refroidi par le PDG de l’entreprise attaquée…
Un présumé braqueur a été expédié, ce lundi 3 avril 2023, aux environs de 3 heures du matin, en enfer, par le président directeur général (PDG) de la société Laine d’Afrique située sur l’Autoroute du Nord, au PK 26, non loin d’une brasserie de la place.
Les malfrats sont devenus provisoirement les maitres des lieux, en tenant les vigiles en respect
Très rapidement, les forces de l’ordre alertées se sont rendues sur les lieux, où le nommé A.B.F., vigile d’une société de gardiennage, leur a donné les premières informations. A l’en croire, des individus, au nombre de 5, ont débarqué, aux environs de 3 heures, au sein de la société sus citée.
Ces 5 malfrats, selon le vigile, ont escaladé la clôture de la société, pour y accéder. Une fois au sein de cette entreprise, ils sont devenus provisoirement les maitres des lieux, en tenant les vigiles en respect. Et pour s’assurer qu’ils ont le contrôle parfait de la situation, ils les ont ligotés.
C’était sans compter avec une autre donne. En effet, les visiteurs nocturnes avaient tout prévu, sauf la présence de chiens de garde. Ces molosses ayant remarqué la présence des intrus, ont commencé à aboyer très fort. Ce boucan n’est pas sans conséquence. Puisqu’ils ont fini par réveiller les responsables de l’entreprise, le président directeur général (PDG) de la société en tête.
Panique dans le camp des malfrats
Muni d’un fusil calibre 12, le sieur H.W. vise l’un des intrus et appuie sur la gâchette, l’atteignant mortellement. Cet autre scénario n’avait pas été prévu par les intrus. A présent, c’est la panique dans leur camp. Et comme des lâches, ils abandonnent leur complice blessé et prennent la tangente.
Après une longue agonie, le présumé malfrat, grièvement blessé, passe l’arme à gauche.
Plus tard, le corps sans vie du quidam a été enlevé par les services des pompes funèbres, pour sa conservation à la morgue du Centre hospitalier universitaire (CHU) de Yopougon.