Un Camerounais tue sa femme et viole sa fille…
C’est une affaire rocambolesque et horrifiante qui mêle crime et mélodrame en même temps. Au Cameroun, un individu soupçonné de crime odieux sur sa compagne et de viol sadique sur sa propre fille, a été arrêté.
Si Satan a été jeté du paradis vers la terre pour juste avoir désobéi à Dieu et que depuis il attend son jugement à la fin du monde, quel sort sera réservé à ce même jugement au sieur Félix Ngouéle ? Lui qui sera bientôt en jugement pour avoir tué sa compagne… et violé pendant des années …sa propre fille.
Cette scène d’horreur se passe au Cameroun, rapporte le site koaci.com. Selon le confrère, Félix Ngouéle est d’une espèce humaine que même le diable dans son irréfragable quête d’actes démoniaques ne peut tolérer.
Dans le village de Polo à 70 km de Yaoundé, le sieur Félix , aux idées diaboliquement géniales, prenait un malin plaisir à violer sa propre fille de 9 ans. Et ce sadique schizophrène assouvissait cette libido diabolique chaque soir depuis un bon moment. Mais que se passait-il pour que sa petite fille soient livrée à la sexualité débridée de cet indigne de père ?
La réponse est tout aussi stupéfiante et donne froid dans le dos: Félix Ngouéle n’est pas qu’un vil violeur et père incestueux. C’est aussi un dangereux criminel en puissance qui n’a rien à envier au caractère placide de Jack l’éventreur.
Ainsi, après avoir révélé que son père la viole depuis deux ans, sa fille Micheline a fait cas de la disparition de leur mère depuis 2014. S’il reconnait rapidement les accusations de viol, le violeur de 43 ans essaie de distraire les gendarmes sur le meurtre.
Mais cette bravade mortifère n’ira pas loin. Il finira pas avouer avoir assommé sa compagne, enceinte de 9 mois, à coups de gourdins. Son meurtre accompli, il a enterré sa compagne juste derrière sa bicoque de maison. Les gendarmes ont retrouvé les restes de la pauvre suppliciée là.
C’est donc sans gêne, sans remords, et avec une sérénité satanique que Félix Ngouélé violait sa fille juste derrière les ossements de sa femme. C’est d’une atrocité inégalée en matière criminelle.