A cause d’une communication nulle : La mouvance présidentielle fait monter en puissance Ousmane Sonko
Quand un individu de la trempe d’Ousmane Sonko monte en puissance au Sénégal, il est à se poser des questions. Voilà un véritable imposteur incapable de montrer la moindre tolérance et qui est en train de tromper une frange de la population. Tout le monde a vu comment le leader du Pastef a fait de sa cible toute la presse, parce que celle-ci n’a fait qu’annoncer les résultats au sortir de l’élection présidentielle de février 2019.
Ousmane Sonko avait souhaité que la presse traitât ses résultats de truqués. La presse n’est pas entrée dans jeu, se contentant comme en 2000, lorsqu’il y a eu la première alternance politique et historique au Sénégal de donner les résultats sortis des urnes en direct. Seulement, elle est entrée dans ses foudres ? Voilà le véritable visage de ce monstre politique.
Ousmane Sonko est incapable de faire preuve de tolérance. Il est un véritable ennemi de la démocratie. Ses accointances avec les salafistes sont véritablement connues. Une fois élu Président de la République du Sénégal (Que Dieu nous en préserve), ce salafiste devrait servir de pont pour relier toute l’Afrique de l’Ouest à la déstabilisation de tout le continent.
Ousmane Sonko est facilité dans sa tâche. Les opposants représentatifs comme Idrissa Seck, Khalifa Sall, Karim Wade terré dans son « exil » doré au Qatar, Il a le champ libre. Un champ libre que lui laisse la mouvance présidentielle. Au sein de l’Alliance pour la République (APR), des responsables se livrent à se jeter des peaux de bananes. Et voilà, que ces responsables pour préserver leurs postes juteux, veulent, à travers une très mauvaise communication, montrer au Chef de l’Etat Macky Sall qu’ils sont les seuls à faire tomber Ousmane Sonko.
Le résultat est devenu lamentable. Avec toutes les accusations farfelues portées contre Ousmane Sonko, comme celles du ministre Mansour Faye, Ousmane Sonko devient un « chouchou » pour de jeunes Sénégalais, à force de faire de lui, l’ennemi à abattre.
A cause de la mauvaise communication de l’APR et de membres de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY), un individu comme Ousmane Sonko soupçonné de ses accointances avec les salafistes est train de monter en puissance.
La rédaction de Xibaaru