13ème Grand Prix de la Renaissance et de l’intégration africaine, Papis Niang réussit un exploit panafricain avec des chevaux de la sous-région.
Le sport est un vecteur de développement.
Les courses hippiques sénégalaises sont en train de jouer pleinement le brassage culturel et sportif qui permet à certains pays de la sous-région de faire voyager leurs chevaux jusqu’au Sénégal. Ils sont venus du Mali, du Burkina, du Niger et du Nigeria pour participer à la fête du cheval. Idrissa Niang à l’état civil, Papis Niang en est l’artisan de la réussite de ce grand prix de la renaissance et de l’intégration africaine.
Une occasion saisie par le fils de Cheikh Niang, défunt président du CNG (Comité National de Gestion) des Courses hippiques pour lui rendre un bel hommage et ensuite vendre la destination Sénégal en offrant un plateau culturel riche en couleur.
A l’hippodrome Ndiaw Macodou Diop de Thiès, le grand prix de la renaissance et de l’intégration africaine a aussi démontré que les courses hippiques, au-delà des passions, font montre d’une ambiance électrique et chaleureuse aussi bien sur les gradins que sur la piste.
Plus d’une cinquantaine de chevaux étaient au rendez-vous. Pour le Grand Prix, c’est le cheval Aminouma qui l’a remporté haut la main.
Pour le président Papis Niang qui donne rendez-vous aux turfistes l’année prochaine, d’autres innovations et de surprises seront mises à contribution pour le bonheur et le plaisir des amoureux du cheval.
Abdou Marie Dia pour xibaaru.sn