Selon le Directeur Général de l’Ofor (Office des Forages), le problème de l’eau de Touba est un problème structurel. Une solution d’ensemble sera trouvée pour remplacer les pompes défectueuses. Le Dg Hamade Ndiaye de demander au préfet de se déplacer vers les champs pour débrancher les pompes qui sont dans les périmètres maraîchers. C’est d’ailleurs, ce qui a montré le dynamisme des différentes structures qui agissent à Touba. Le facteur humain a une grande importance dans la production et l’exploitation de l’eau. Il faut ramener le cadre qui regroupait tous ceux qui interviennent dans l’eau de Touba sous la supervision du sous-préfet et qu’il faut les fédérer.
Selon Moustapha Mésséré acteur très engagé à Touba, il est incompréhensible qu’au moment où les populations souffrent du manque d’eau, Maou Rahmati continue de vendre de l’eau. En plus de cela, il a posé la question à savoir pourquoi l’Ofor réclame 15000 frs par citerne aux gens qui peinent à avoir 1000 frs pour régler leurs problèmes.
Selon le responsable de hizbut Tarquiya, la structure s’est inscrite dans une démarche citoyenne et n’agit pas en électron libre. Le forage construit par le Dahira Hizbut Tarquiya, c’est le ministre de l’eau et de l’assainissement qui a donné l’autorisation de réaliser le forage profond.
Le problème de l’eau à Touba est un problème crucial. En temps opportun, les autorités seront informées de la réception du forage. Après Dakar, le réseau de Touba fait partie des plus anciens du pays. Il demeure important de faire un travail minutieux qui souffre de la non maîtrise et des intervenants qui doivent être identifiés.
Ofor est en train de travailler là-dessus en faisant une étude pour reprendre le réseau.
Ofor de reconnaître le déficit de personnel et c’est dans ce sens qu’un dispositif de télé
Toutefois le directeur général de l’Ofor reconnaît que l’état est en train de faire beaucoup d’efforts pour la ville sainte de Touba.
Abdou Marie Dia pour xibaaru.sn