Jamais dans l’histoire du Sénégal, des gens aussi mal intentionnés et aussi méchants ne se sont incrustés dans le champ politique.
Il est clair qu’un individu qui prend un objet contondant ou inflammable pour les jeter sur les forces de l’ordre ou les transports en commun n’est point animé d’une bonne foi.
Pourrait-on appeler une telle personne un manifestant ? Évidemment, non!
Les organismes internationaux des droits de l’homme confèrent à tous la liberté de manifester et d’exprimer son opinion mais tout ceci doit se faire de manière pacifique c’est à dire à main nue.
A partir du moment où des gens se rebellent en s’armant d’objets mortels pour se lancer aux trousses de paisibles citoyens et aux forces de l’ordre, dont la mission principale est de rétablir l’ordre, l’on peut dire que nous n’avons plus de manifestants en face mais de terroristes.
Le terrorisme commence par vouloir attenter à la vie d’autrui peu importe les motifs économiques ou politiques.
Les jeunes de Pastef ont, depuis le mois de mars dernier, commencé à semer la zizanie en attaquant les forces de l’ordre avec des cocktails molotovs. Maintenant, ils ne se limitent pas à s’attaquer aux forces de défense et de sécurité mais ils s’en prennent dorénavant aux civils qui refusent de manifester.
Ceci dénote un aveu d’impuissance étant donné que leur entreprise terroriste était d’avance vouée à l’échec car ayant en face d’eux un magistrat chevronné qui ne fuit jamais ses responsabilités.
Lorsque leur chef en personne, Ousmane Sonko, semait la zizanie, Antoine Félix Diome a été l’un des rares soldats du Président Macky Sall a lui faire ouvertement front.
Il ne fait pas partie de ces responsables de la mouvance présidentielle qui se cachaient. Il a fait don de sa personne et a toujours été au front pour défendre le Président Macky Sall. Il a assuré et rassuré face à l’épi phénomène Sonko. Le ministre de l’intérieur est un exemple à suivre pour tous les militants de la mouvance présidentielle. Un homme entièrement dévoué au service exclusif du Président Macky Sall.
Mariama Goudiaby