Ousmane Sonko ne compte plus déférer à une convocation de la justice. Pour justifier cette posture, le leader de Pastef invoque le fait qu’il a été brutalisé, gazé par les forces de défense et de sécurité, avec son convoi. Il estime également qu’il a été victime d’une tentative d’assassinat. Son placement sous contrôle judicaire, la confiscation de son passeport, alors que l’instruction dans l’affaire Sweet Beauty est terminée.
« J’ai pris la décision de ne plus collaborer avec cette justice. Je ne répondrai pas plus à cette justice », a-t-il déclaré sur sa page Facebook.
Le leader de Pastef met également en garde tout magistrat qui prononcerait une quelconque inéligibilité en son encontre. Il estime que rien de solide dans ses dossiers pendants en justice ne permet une telle condamnation.